AU QUARTIER DE BELOTE A HABAS... LA SOLIDARITE N'EST PAS UN VAIN MOT
Au quartier de Belote à HABAS, tous les soirs à 20 Heures...
A HABAS on connaît tous une infirmière, une aide-soignante à l'hôpital, en clinique, en EHPAD, une aide à domicile, une auxiliaire de vie, etc... On pense fort à elles. elles ne sont pas reconnues d'aujourd'hui, on les apprécie depuis toujours. On sait les tâches qu'elles ont à accomplir auprès des anciens, on connaît leur dévouement et le peu de considération que les gouvernants leur portent. Idem pour nos pompiers bénévoles. Ils ont tous notre reconnaissance.
MINABLE ET CRETIN ! De la pleurnicherie hospitalière de CALVI aux Pokémons de LECHYPE
Deux vidéos virales, où des infirmières essayent des surblouses neuves qui se déchirent en lambeaux, ont été publiées dimanche. Selon les premiers éléments de l'enquête interne à l'AP-HM, il s'agirait d'un lot défectueux. Question posée par Heuchel le 05/04/2020 Bonjour, Deux vidéos très similaires ont été publiées sur Facebook dimanche. On y voit des soignantes sortir des surblouses de paquets neufs et tenter de les enfiler. Les blouses, très fines, se déchirent immédiatement. «Les nouvelles blouses qui se déchirent, c’est normal», ironise l'une d'elles. Elles sont «sorties du sachet», précise celle qui filme en montrant à l’image le paquet neuf de blouses. «On en est au troisième carton», ajoute la première. En fond sonore, on entend une puéricultrice dire au téléphone que «les infirmières ne peuvent pas entrer faire de prélèvement chez les enfants atteints de Covid-19».
Le monde normal Documentaires sur la PSYCHIATRIE
Pascal, c'est POUR TOI
https://www.publicsenat.fr/emission/documentaires/le-monde-normal-149064
https://www.dailymotion.com/video/x7rqkdo
ÉMISSION DIFFUSÉE LE 15 FÉV 2020
Trente ans après, je retourne dans l´hôpital psychiatrique d´Erstein, près de Strasbourg où j´ai vécu enfant. Dans les années 70, mes parents, médecins, y expérimentaient de nouvelles façons de soigner, dans des bâtiments neufs permettant aux malades mentaux d´aller et venir, de façon quasi libre. Il y avait un centre équestre pour l´équithérapie, une basse-cour, une salle de sport, le tout dans un grand parc entouré d´un grillage assez peu dissuasif, sous lequel je me glissais pour entrer dans l´hôpital, mon terrain de jeu. Aujourd´hui, la plupart des pavillons ouverts ont été remplacés par un bâtiment clos, avec badges pour circuler et patios intégrés, afin d´améliorer la sécurité. Les chambres d´isolement dans lesquelles on enferme, voire attache les patients dangereux ou agités, ne désemplissent pas. Pourtant, les psychiatres qui ont pris la suite de mes parents souhaiteraient toujours diminuer la contrainte sur ceux que l´on interne. Comme leurs prédécesseurs des années 70. Si bien qu´on pourrait croire que notre histoire bégaye. Mais dans un monde visant le risque zéro, a-t-on vraiment envie de faire confiance aux malades mentaux pour qu´ils vivent libres ? Ce débat n´agite pas seulement le grand public mais aussi les médecins et les équipes soignantes. Il questionne l´hôpital idéal que j´ai connu et qui n´était peut-être au fond qu´une utopie. Il questionne la folie et la normalité. Il nous questionne tous dans notre rapport à l´autre et à l´imprévisible. » Un documentaire d'Hélène Risser.
CE MATIN A 8 H 30 SUR FRANCE INFO : J.Luc MELENCHON
C'était sur FRANCE INFO RADIO et NON T.V.