Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
miche.over-blog.com

PREMIERES INFOS DU MATIN QUE VOUS NE VERREZ PAS A LA TV.

18 Janvier 2022 , Rédigé par michelle

Michelle Crecq
il y a environ une heure

PATERNE KOFFI
M. Ugo Bernalicis,
je vous porte de plus en plus une très admiration pour votre combat
Une admiration pour votre cohérence et ce combat vrai que vous menez pour le peuple français
Bon courage à vous

Voir plus
 
Michelle Crecq
il y a 29 minutes

BLAST, Le souffle de l'info
386 k abonnés

Soutenez Blast, nouveau média indépendant : https://www.blast-info.fr/soutenir

Voir plus
YOUTUBE.COM
 
Soutenez Blast, nouveau média indépendant : https://www.blast-info.fr/soutenir"C’est un rapport inédit, du jamais vu depuis que ce type de données existe. La...
Michelle Crecq
il y a 32 minutes
 
YOUTUBE.COM
 
Clémence Guetté vous présente chaque semaine une des mesures de notre programme « L’Avenir en commun ». Cette semaine nous revenons sur l'interdiction des fe...
Michelle Crecq
il y a 41 minutes

Laurence Bennaceur
il y a 1 jour
Merci M. Coquerel pour votre discours et votre courage. Ce pass vaccinal est une honte. Quel est le rôle de l'assemblée nationale ? Défendre les droits des citoyens devant des atteintes extrêmement graves à la démocratie ou obéir aux ordres de Jupiter ? A quand une commission sur les effets secondaires des vaccins? Sur les conflits d'intérêts ?
Isa B.
il y a 21 heures

Voir plus
YOUTUBE.COM
 
Vous imposez la déchéance partielle de leur citoyenneté de millions d’entre nous. Vous nous imposez de présenter un code QR code pour la quasi totalité de no...
Michelle Crecq
il y a 56 minutes
 
YOUTUBE.COM
 
Soutenez Blast, nouveau média indépendant : https://www.blast-info.fr/soutenir"Qui a dit que la politique sentait mauvais ? À Nantes, Jean-Luc Mélenchon a fa...
Zaëlle Noyoub
Abonné·e de Mediapart
Pourquoi je ne me suis (toujours) pas fait vacciner (2/2)

Il semblerait que, sans vaccin, je ne sois pas près de voir la fin de mes emmerdes. Il semblerait que j'aie, par mon refus obstiné, beaucoup à perdre et très peu à gagner. Ma façon d'habiter ce monde s'en trouve bouleversée, c'est vrai ; mais si c'était justement ce dont notre monde a besoin ? Et je me surprends à voir, au plus sombre de la tourmente, l'orée d'une lumière nouvelle...

Alors, à ce qu'il paraît, je ne serais qu'une « emmerdeuse », une irresponsable au point de mériter que l'on me retire mon droit même à la citoyenneté. Pourquoi ? Parce que je ne me suis (toujours) pas fait vacciner.

Alors, à ce qu'il paraît, la sentence qu'appelle de tout son courroux le chef de notre État malade, serait de me refuser désormais – à moi et à la minorité de dissidents de mon espèce – la liberté autrefois banale et naïvement apolitique d'aller au restau, de prendre un canon, d'aller boire un café, d'aller au théâtre et au ciné... Peut-être devrais-je tout de même m'estimer (encore) heureuse de ne pas subir la menace d'être vaccinée de force (sauf bien entendu, si je tiens à continuer de recevoir mon salaire mensuel) ou jetée en prison (sauf évidemment, si je pousse la dissidence jusqu'à risquer de me procurer un faux pass sanitaire) ; bref : sauf si j'essaie tant bien que mal, et surtout coûte que coûte, de continuer à vivre ma vie « comme avant », quels que soient mes choix.

Alors, à ce qu'il paraît, j'appartiendrais à cette minorité « réfractaire » que le Président de notre République tient à « emmerder », et cela jusqu'au bout.

« Réfractaire » – me souffle le Larousse, à moi qui aime bien les mots – signifie : ce qui « résiste à quelque chose, qui refuse d'obéir ou de se soumettre », ou ce qui « est incapable de comprendre, de connaître certains sentiments, certains actes ». On peut également remplacer cet adjectif par ses synonymes, qui sont nombreux : rétif.ve, étranger.ère, fermé.e, imperméable, inaccessible, insensible, rebelle, sourd.e. Et tout cela me questionne. Je me demande : Suis-je en train de résister bêtement et farouchement à une injonction pourtant nécessaire au bien-être – à la survie même – de notre société ? Suis-je en train de me montrer inutilement et stupidement rétive et rebelle à un changement de mode de vie pourtant inévitable ? Suis-je en train d'agir de manière contre-productive en restant imperméable, insensible et sourde aux transformations sociétales pourtant indispensables que réclame cette crise par laquelle notre humanité est si durement éprouvée ?

Le changement m'est difficile à accueillir, je l'admets. Surtout lorsqu'il demande à avoir lieu de manière si brutale, de façon si rapide et inattendue. J'ai envie de dire : « Attendez, je n'ai pas eu le temps de me préparer à ça, j'ai encore besoin d'y réfléchir, où est la touche pause ? » En réalité pourtant, mon argument ne tient pas : le temps de réfléchir, j'en ai même trop eu. J'ai eu trente-deux ans pour me frotter à tout ce qui, dans ce monde, m'indiquait qu'on en arriverait là : les villes bétonnées du trottoir au gratte-ciel, la pollution aux particules fines, la surproduction de déchets en tout genre, les soldes d'été et d'hiver, la consommation à outrance, les low-cost sans modération et les vacances au soleil, le tourisme de masse, le rasage des forêts primaires et les steaks au soja, le green-washing du McDo bio et du Starbucks fair trade, du chocolat pour Noël et un nouvel i-Phone, des litres de glyphosate jusque dans mes tampons périodiques, des mines de coltan, des puits de pétrole, la fonte des glaces et le réchauffement climatique, j'en passe et des pires et très peu de meilleures ; en tout cas je ne peux pas dire que je ne l'avais pas vu venir.

Mais quel rapport avec la vaccination ? me demanderez-vous. Je digresse peut-être, pardonnez-moi, c'est qu'il me semble que l'équation doit prendre en compte tout cela. C'est que j'ai envie de demander à quoi on m'accuse d'être rétive, à quoi on me reproche de résister. Antivax ? S'agit-il seulement de cette injection que je refuse de laisser pénétrer mon corps ? S'agit-il seulement pour moi de refuser que l'on m'injecte ce vaccin-là, alors que des millions de personnes rêvent d'y avoir accès et en sont jusqu'à aujourd'hui privées ? Est-ce qu'il s'agit d'un caprice d'occidentale privilégiée blanche et riche qui a accès à tout, aux soins, à l'éducation, à l'information, à la culture, au loisir, à la consommation, à qui le passeport ouvre les portes du monde entier ou presque, et qui pinaille encore devant une petite piqûre qu'on lui offre gracieusement et qu'elle s'estime en droit de refuser ? Oui, il y a de ça, c'est évident. Ma position de privilégiée me permet aussi d'avoir le temps de me poser des questions, m'offre le loisir de choisir, m'octroie le droit d'exprimer mon refus.

Mais alors, je me dis : peut-être que ce privilège-là implique aussi des devoirs. Peut-être que refuser est parfois un devoir, peut-être que parfois ne rien dire est plus dangereux que d'oser dire « non », quitte à se tromper. Je ne suis pas certaine d'avoir raison, loin de là, je doute en permanence : parce que je crois intimement que le doute est le terreau de la diversité des points de vue et de la multiplicité des voix, le lit des idées nouvelles et des propositions inédites, l'antidote à la monoculture de la pensée unique. Je résiste, me dit-on, je suis réfractaire, et pourtant j'ai l'impression que ce refus-là m'invite à accueillir des changements qui bouleversent ma vie comme jamais auparavant. Et qui, j'espère, bouleverseront le monde.

Je ne vais plus au ciné ni au restau, ni boire de canons, ni de cafés, je ne vais plus au théâtre ni au musée, je ne prends plus l'avion ni le train, je ne pénètre plus dans les magasins, avec la même insouciance qu'avant. Maintenant, toutes ces activités qui autrefois me semblaient naturelles et sans enjeux, sont devenues autant d'opportunités de repenser ma manière d'habiter ce monde. Je ne suis pas vaccinée, et il y a désormais tant de choses auxquelles je n'ai plus accès, ou dont l'accès m'est rendu cher et compliqué ; je réfléchis donc à deux fois avant de me faire tester à mes propres frais : Est-ce que ça en vaut vraiment la peine ? Est-ce que j'ai besoin de ça ? Est-ce qu'on pourrait faire autrement ? Bien sûr, je peux choisir de continuer à acheter en ligne, frénétiquement, tout un tas de choses dont je n'ai pas plus besoin qu'avant, je peux faire des apéro-zoom, regarder sur mon écran des spectacles qu'on disait, il y a peu encore, « vivants » ; en somme essayer de me faire croire que rien n'a vraiment changé.

Je peux aussi réfléchir à tout ce que cela implique que de vivre ensemble au sein de cette écosystème que nous co-créons. Demander à quelqu'un : « Comment ça va ? » et écouter vraiment sa réponse ; me demander à moi aussi comment je vais, m'observer et me comprendre, car il apparait évident que de ma bonne santé dépend celle des autres, et inversement. Me demander pourquoi ce besoin de sortir, d'aller boire des coups, de me changer les idées, de me distraire d'une vie qui pourtant palpite à l'intérieur et tout autour de moi et que je laisse flétrir au lieu de l'honorer. Me demander si mon travail me nourrit, s'il me fait me sentir utile, s'il ne finit pas par me dévorer l'esprit et la santé. Me préparer, peut-être, à ne plus prendre l'avion, à ne plus voyager comme avant. Passer les frontières, geste pour moi jusqu'à présent dépourvu de sens, ne semble plus tout à coup si simple ni si innocent : Est-ce que je remplis les critères d'entrée dans ce pays ? Est-ce que l'absence de passeport vaccinal me condamne à rester en dehors ? Je ne m'étais jamais posé avec autant de sérieux ce genre de questions, ou plutôt je n'avais jamais cru qu'elles me concerneraient, ces questions pourtant si familières à la majorité des êtres humains qui peuplent cette terre.

Alors oui, à ce qu'il paraît, une injection (ou deux, ou trois...) et mes « emmerdes » seraient terminées. Un coup de scan de mon code QR et la vie pourrait reprendre « comme avant ». Seulement, en ai-je vraiment envie ? Cette « vie d'avant » était-elle vraiment viable ? Combien de temps pourrais-je encore continuer à prétendre que boire un café en scrollant sur mon smartphone, commander un steak ou partir en vacances sont des gestes sans incidences, que mon « niveau de vie » ou mon « pouvoir d'achat » n'ont aucun impact sur l'état du monde et sur la santé des autres humains qui l'habitent aussi ? Peut-être qu'au fond, ce petit geste de rébellion, ce petit refus qui prend pour moi et pour moins de 10% de la population française des proportions inattendues, relève plus de l'acceptation que de la résistance. Accepter que les choses ne peuvent plus continuer ainsi, car aucun QR ni aucun vaccin ne nous sauvera des prochains virus, des prochaines épidémies et des nombreuses catastrophes qui dévasteront ce monde tant que nous ne changerons pas radicalement nos façons de l'habiter. Accepter que rien ne sera plus jamais « comme avant ». Accepter la merveilleuse opportunité que nous offre cette crise de réinventer notre humanité.

Alors, peut-être qu'au lieu de tenir à tout prix à gagner cette « guerre », on pourrait maintenant s'atteler à cultiver la paix.

Michelle Crecq
il y a 13 heures

Un groupe de procureurs généraux d'États républicains a envoyé une lettre au président Biden en s'engageant à intenter une action en justice s'il ne changeait pas de cap, arguant que l'obligation serait illégale et peu susceptible de réussir en tant que mesure de santé publique.
https://lemediaen442.fr/la-cour-supreme-a-bloque-la-vaccin…/
Obligation Vaccinale Aux États-Unis : 24 États Menacent De Poursuivre Biden En Justice
Gros coup dur pour le président Joe Biden. Nous apprenons par Reuter que la Cour suprême a bloqué jeudi 13 janvier 2022 l’obligation vaccinale ou de test covid-19 promulguée par le président pour les grandes entreprises. Trois juges démocrates s’y sont opposés, mais les six juges républicains ont tranché. Les juges ont statué que cette politique est une contrainte abusive sur la vie et la santé de nombreux Américains.

LEMEDIAEN442.FR
 
La Cour suprême a bloqué l'obligation vaccinale ou de test covid-19 promulguée par le président Biden pour les grandes entreprises.
Michelle Crecq
il y a 19 heures

https://resistance-mondiale.com/les-donnees-officielles-ind…
L’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) publie un rapport hebdomadaire de surveillance des vaccins, chaque rapport contenant quatre semaines de données sur les cas, les hospitalisations et les décès liés au Covid-19, par statut vaccinal. Pour notre enquête, nous avons analysé 5 de ces rapports de surveillance des vaccins publiés, contenant des données du 16 août 2021 au 2 janvier 2022, afin d’obtenir une image claire de l’effet des vaccins Covid-19 sur le système immunitaire de la population vaccinée, et voici ce que nous avons trouvé…

 
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article